Santé publique France a récemment lancé son nouveau site Internet Alcool Info Service. Destiné aux consommateurs d’alcool, à leurs proches ainsi qu’à toute personne souhaitant en savoir plus sur l’alcool, ce site a pour vocation de soutenir et d’accompagner les démarches de réduction ou d’arrêt des consommations à risque ou problématiques.
Un parcours personnalisé pour répondre à vos besoins
Alcool Info service propose des parcours personnalisables adaptés à chaque utilisateur. Que vous souhaitiez faire lepoint sur votre consommation, mieux comprendre les risques associés à la consommation d’alcool ou trouver des conseils pratiques pour réduire votre consommationou accompagner vos proches, le site vous guide pas à pas.
Articles détaillés sur les effets de l’alcool et les solutions d’accompagnement
Infographies pour visualiser les impacts de la consommation
Services d’aide à distance : ligne d’écoute, chat, forums, annuaire
Vidéos pédagogiques et témoignages sur l’addiction à l’alcool
L’annuaire des structures spécialisées en Alcoologie
Un des outils phares du site est son annuaire des structures spécialisées en alcoologie. Avec plus de 2000 adresses répertoriées à travers la France, il offre une recherche simplifiée et adaptée aux besoins de chaque utilisateur. Ce nouvel espace d’adresses utiles permet de trouver rapidement les lieux d’accompagnement proches de chez soi.
Lundi 16 décembre 2024 à 18h s’est déroulé l’inauguration officielle du nouvel établissement « ACT Un Chez Soi d’Abord Loiret – Orléans Métropole » au 112 Faubourg Bannier à Orléans (45).
“Un Chez Soi d’Abord”, un dispositif innovant et inclusif
Le dispositif « Un Chez Soi d’Abord » Loiret s’inscrit dans une dynamique nationale visant à permettre à des personnes majeures en situation de grande précarité, sans-abri et souffrant de pathologies mentales sévères d’intégrer un logement en intermédiation locative et de s’y maintenir le temps de l’accompagnement avec comme objectif final la location en propre d’un logement autonome à l’issue d’un parcours de rétablissement.
À une époque où les problèmes de santé mentale sont au cœur des préoccupations sociétales, le dispositif « Un Chez Soi d’Abord » constitue une solution innovante et inclusive. En permettant un accès au logement adapté et un accompagnement global, ce projet vise à réduire l’isolement, la stigmatisation et le renoncement auxquels font face de nombreuses personnes souffrant de troubles psychiatriques.
Un projet partenarial entre secteur social, médico-social et sanitaire
À travers une offre régionale comprenant 55 places dans le Loiret et 55 places en Indre-et-Loire, ce dispositif est le fruit d’une collaboration étroite entre les secteurs social, médico-social et sanitaire, promue par les pouvoirs publics.
Le dispositif est porté dans le Loiret par le Groupement de Coopération Sociale et Médico-Sociale (GCSMS) constitué de l’Aidaphi, l’EPSM Georges Daumézon et l’APLEAT-ACEP. Depuis près de 10 ans, les trois institutions fondatrices travaillent main dans la main pour répondre aux besoins complexes des personnes en situation d’exclusion sociale.
Nous remercions Madame Sophie BROCAS, Préfète du Loiret et de la Région Centre-Val de Loire et Madame Clara DE BORT, Directrice Générale de l’Agence Régionale de Santé Centre-Val de Loire pour leur présence et implication.
Madame Véronique CARRE, Directrice régionale de la DREETS,
Monsieur Jérôme D’HARCOURT, Délégué Interministériel à l’hébergement et à l’accès au logement DIHAL | Délégation interministérielle à l’hébergement et à l’accès au logement,
Monsieur Henri HANNEQUIN, Directeur du SIAO National,
Docteur Raphaël BOULOUlDNINE, Coordinateur National “Un Chez-Soi d’Abord”,
Monsieur Philippe RAUX, Responsable du Service Europe DREETS,
Monsieur Stéphane CHOUIN, Vice-Président en charge du Logement et de l’Habitat Orléans Métropole,
Monsieur Jean-Marie AUROUZE, Délégué Régional Unafam Centre-Val de Loire,
Madame Bérangère GRISONI, Présidente Nationale du Collectif Les Morts de La Rue,
Madame Blandine Grimaldi, Commissaire à la Lutte contre la pauvreté en Centre-Val de Loire.
Et aux professionnels des associations fondatrices pour l’organisation de cet évènement.
“Tina et Toni” est un programme de prévention suisse destiné aux enfants de 4 à 6 ans, mis en place en école maternelle et primaire, dans le but de développer les compétences psychosociales cognitives, sociales et émotionnelles.
Tous les programmes de prévention que nous déployons ont une efficacité prouvée scientifiquement ou sont prometteurs. C’est le cas de Tina et Toni !
Déroulé de l’étude pilote
Entre septembre 2021 et juin 2022, le service PISTES a mené une étude pilote en partenariat avec le Dr. Émeline Chauchard, Université de Nantes, Laboratoire de Psychologie des Pays de la Loire et le Dr. Élodie Tricard, Université d’Orléans, Laboratoire ÉRCAÉ.
En réalisant cette étude pilote, nous voulons évaluer l’efficacité du programme. “Tina et Toni” développe-t-il les compétences psychosociales cognitives, sociales et émotionnelles des enfants de 4 à 6 ans ?
Afin de mener à bien l’étude pilote, deux groupes d’élèves dont 174 enfants de CP et de maternelle ont participé à la recherche :
Le groupe Tina et Toni comprenait 77 élèves
Le groupe contrôle comprenait 97 élèves
Deux temps de mesure ont été réalisés, un premier en janvier 2022 et un deuxième en juin 2022, durant lesquels les élèves ont pu être confrontés à des scènes de la vie quotidienne et réaliser des activités ludiques.
Résultats de l’étude pilote
Des résultats significatifs ont été obtenus sur le plan cognitif, émotionnel et social :
Sur le plan cognitif : amélioration du contrôle cognitif
Sur le plan émotionnel : amélioration des compétences de coopération, d’affirmation et de maitrise de soi
Sur le plan social : augmentation des performances de reconnaissance des émotions et amélioration de la régulation des émotions
Grâce à la réalisation de cette étude pilote, nous pouvons affirmer que “Tina et Toni” est un programme de prévention prometteur !
A l’avenir une autre étude devra être réalisée pour prouver scientifiquement que “Tina et Toni” est un programme probant.
Afin d’en savoir plus sur l’étude pilote qui a été menée, nous vous invitons à consulter le rapport scientifique.
Le centre social Tsiganes 41 de l’Association a récemment organisé un concours de cuisine sur l’aire d’accueil de Saint-Aignan-sur-Cher. L’équipe du centre social profite de la période estivale pour faire des activités sur les lieux de vie et en l’occurrence des ateliers “cuisine mobile” afin d’être au plus près du public.
Une première pour le centre social et trois habitués des ateliers cuisine se sont prêtés au jeu de la compétition !
Les objectifs de cette activité :
Renforcer l’aller-vers
Développer l’esprit critique et de compétition, la minutie, l’estime de soi des voyageurs
Découvrir les habitudes culinaires des voyageurs ainsi que leur mode de vie
Les voyageurs avaient à leur disposition plusieurs ingrédients. Ils ont choisi les produits qu’ils souhaitaient et avaient 2h pour préparer un plat et un dessert. Les participants étaient notés sur : le goût, l’équilibre alimentaire et la présentation. L’équipe de Tsiganes 41 a fait partie des membres du jury accompagné d’un voyageur.
Noëlla, une des participantes, a choisi de préparer un plat à base de cabillaud et de riz ainsi que des muffins à la pomme en dessert, ce qui lui a permis de décrocher la première place !
Des lots ont été distribués aux 3 participants :
Un tablier, des maniques et un diplôme “Top Chef” pour la gagnante
Des sacs de conservation pour les légumes et un torchon essuie-mains pour les deux autres participants
Cet atelier a vraiment été un moment de partage, de convivialité et de rigolade. Cela a permis à l’équipe du centre social d’échanger avec les voyageurs sur leurs habitudes alimentaires et d’observer l’organisation de leurs cuisines sur leur aire d’accueil.
A ce jour, l’objectif pour l’équipe de Tsiganes 41 serait de déployer cette animation sur d’autres aires d’accueil du territoire du Loir-et-Cher (41).
Pour en savoir plus sur le centre social Tsiganes 41, aller consulter leur page !
Récrévention, un jeu de prévention pour aller-vers
Récrévention c’est le nouveau jeu de prévention Made in Bourges ! Il est composé de pions colorés, de deux dés à jouer et de fiches-questions réparties en 6 catégories de couleurs abordant différentes thématiques de prévention. L’objectif du jeu est d’obtenir ses six points en répondant correctement à une question de chacune des thématiques et d’arriver le premier à la case d’arrivée. Il a été imaginé de façon à ce qu’il soit simple d’utilisation et compréhensible par tous. Un jeu qui mélange le jeu de l’oie et le “Trivial pursuit”.
Récrévention intègre la dynamique de l’aller-vers. Il a été créé pour permettre aux Travailleurs sociaux de la ville de Bourges d’aller plus facilement à la rencontre des jeunes et des famillesen abordant avec eux des sujets parfois sensibles tels que l’école, le travail, le quartier et autres, de manière plus ludique et conviviale.
L’utilisation de Récrévention au sein de l’Apléat-Acep
Les équipes du Club de Prévention Spécialisée et du dispositif Parcours Gagnant de l’Apléat-Acep intégreront ce nouvel outil de prévention dans leur dynamique de travail.
Récrévention sera déployé directement dans la rue, au pied des quartiers de la ville de Bourges. Les équipes inviteront les habitants à jouer avec eux, une manière de créer le contact de manière plus originale.
Retour dans la presse
Merci au journal Le Berry Républicain (Madame Marie Claire RAYMOND) et à France Bleu Berry (Monsieur Michel BENOIT) pour leurs articles suite à la présentation officielle du jeu Récrévention à la mairie de Bourges la semaine dernière.
TAPAJ (Travail Alternatif Payé A la Journée), c’est un programme innovant et positif d’insertion par le travail à destination des jeunes de 16 à 25 ans en situation de grande précarité, déployé par l’Apléat-Acep Association de santé et de solidarité.
TAPAJ offre aux jeunes sans emploi ni formation la possibilité d’avoir accès à quelques heures de travail moyennant un salaire versé le jour même. Cette modalité d’activité est ainsi source de revenu légal, avec un minimum de contrainte d’accès. Par ce biais, le jeune développe non seulement son estime de soi, mais également un savoir-faire et un savoir-être professionnels.
En 2023, à Orléans, ce sont :
73 jeunes accueillis par le dispositif,
229 plateaux de travail effectués,
341 accompagnements éducatifs réalisés.
Pour illustrer ces parcours, voici les témoignages de quelques jeunes accompagnés par le programme TAPAJ.
Témoignage de Maxime
Être accompagné par le dispositif TAPAJ, c’est ce qui a permis à Maxime de réduire sa consommation de cannabis et de pouvoir se projeter dans l’avenir.
Merci pour ton témoignage Maxime !
Témoignage de Noa
Être accompagné par le dispositif TAPAJ, c’est ce qui a permis à Noa de retrouver la motivation et le goût pour le travail.
Merci pour ton témoignage Noa !
Témoignage d‘Ana
Être accompagnée par le dispositif TAPAJ, c’est ce qui a permis à Ana de retrouver le sourire et d’avoir de nouveaux projets.
Merci pour ton témoignage Ana !
Témoignage de Doriane
Être accompagnée par le dispositif TAPAJ, c’est ce qui a permis à Doriane d’être plus autonome, d’arrêter de fumer et de se sentir mieux dans sa vie.
Merci pour ton témoignage Doriane !
Pour l’Apléat-Acep, TAPAJ a permis à 73 jeunes d’être accueillis avec chacun.e leurs histoires et raisons. C’est ce qui les ont poussés à vouloir se faire accompagner. Les parcours de ces 4 jeunes en témoignent !
« C’est toujours réjouissant de voir que les actions que l’on met en place portent leurs fruits et jouent un rôle important dans l’accomplissement des projets personnalisés des patients. »
Nicolas est infirmier. Il travaille pour l’association depuis septembre 2023 au sein des Appartements de Coordination Thérapeutique (ACT) à Montargis. Pour partager son métier d’infirmier au sein de l’Apléat-Acep, il a accepté de répondre à quelques questions.
ACT : Appartements de Coordination Thérapeutique à destination de personnes en situation de fragilité psychologique et sociale et atteintes de maladies chroniques
Quelles sont vos principales missions en tant qu’Infirmier ?
Mon rôle est à l’interface du social et du médical. Je contribue à la réussite du projet médical de chacun des patients accompagnés en développant leurs compétences personnelles tout en m’appuyant sur les ressources dont on dispose en tant que professionnel de santé. Je dois m’ajuster au tempo des résidants, prendre en compte les observations quotidiennes de mes collègues et les attentes des Coordinateurs de parcours.
Je travaille en étroite collaboration avec le Médecin Coordinateur, auquel je rends compte de l’évolution des résidants, et pour lesquels je peux mener des actions d’Éducation Thérapeutique individuelles ou collectives. Mon objectif est de ne pas me substituer aux acteurs de soins. Je coordonne leurs actions en soutenant l’accès aux soins du droit commun dans un souci d’autonomie du résidant dans la prise en charge de sa santé. J’agis en accord avec les souhaits et projets des résidants.
A quoi ressemble votre journée de travail type ?
Comme beaucoup de journée de travail, je consulte mon agenda, j’échange avec mes collègues sur les actions de la journée et je traite mes mails.
Ensuite je réalise des visites au domicile des patients pour les suivis réguliers afin d’évaluer l’évolution de leurs parcours et de réajuster notre plan d’action si besoin en fonction des objectifs personnels posés. Mais à vrai dire il n’y a pas forcément de journée type, car je peux également passer des appels téléphoniques avec des services de soins, répondre aux urgences ou encore concevoir des programmes d’Éducation Thérapeutique.
Quels sont vos principaux défis professionnels ?
Tisser des liens avec les partenaires pour assurer un réseau de soutien stable et pérenne aux patients
Mettre en place des ateliers d’Éducation Thérapeutique à destination des patients en les accompagnant et en leur donnant les ressources nécessaires pour être plus autonomes. Nous nous devons d’être imaginatifs au service d’un public arrivant aux termes de parcours de santé traumatiques, complexes et/ou de parcours migratoires. Il faut être humble et patient.
Quelles sont les difficultés liées à la nature de votre travail ?
Je dirais que c’est un travail principalement axé sur le relationnel, il est donc nécessaire de bien doser la disponibilité mentale et psychologique que l’on peut avoir face à des situations de précarité avancée. Le challenge est de comprendre le point de vue de chacun, de partager l’information utile/pertinente et d’être pédagogue. Les difficultés tiennent aussi au contexte de désertification médicale et des moyens existants sur le territoire en termes de transports notamment.
Qu’est-ce que vous préférez dans votre travail ?
J’aime particulièrement le travail pédagogique réalisé avec mes collègues et la mise en lien entre les résidants et les partenaires professionnels
Le lien avec les personnes que nous accompagnons, leurs compétences et leurs capacités à mettre en œuvre leur projet de vie et leur résilience face aux aléas de la maladie chronique
Selon vous, quelles sont les qualités indispensables à avoir pour exercer le métier d’Infirmier au sein de l’Apléat-Acep ?
Porter une attention particulière au territoire rural et ses spécificités sociologiques, économiques et démographiques
Être mobile
Adhérer aux valeurs de l’association
Être à l’écoute, humble, patient
Avoir de l’empathie
Quelle est votre plus grande fierté au travail ?
Ma plus grande fierté est de voir que les valeurs que je porte au quotidien sont le reflet des projets mis en place dans le cadre de mon travail. C’est toujours réjouissant de voir que les actions que l’on met en place portent leurs fruits et jouent un rôle important dans l’accomplissement des projets personnalisés des patients.
Pourquoi avoir souhaité travailler dans une association et plus particulièrement à l’Apléat-Acep ?
Ma précédente expérience dans le monde hospitalier m’a permis de me rendre compte que les associations permettent une souplesse, une proximité que n’ont pas les grandes institutions et offrent des perspectives professionnelles plus innovantes au regard des enjeux de demain sur la santé. L’Apléat-Acep m’offre cette opportunité dans un contexte géographique où j’aime vivre tout en apportant une diversité de services et de modes de prise en charge qui répondent à ma culture professionnelle.
Si vous deviez donner 3 conseils à un nouveau collaborateur, quels seraient-ils ?
Être à l’écoute de l’équipe, s’enrichir de la diversité des points de vue professionnels
Se documenter sur l’actualité et les défis sociétaux pour mieux comprendre les personnes que nous accompagnons
Avoir un bon équilibre entre la vie professionnelle et la vie personnelle pour pouvoir accompagner au mieux ces personnes
Vous souhaitez en savoir plus sur nos offres d’emploi, les métiers de l’Association Apléat-Acep ? Rendez-vous sur la page “Nos métiers“.
Nous serons présent au 11ème colloque de prévention organisé par la Fondation PiLeJe et l’Institut Pasteur de Lille, le mercredi 29 novembre 2023 au Studio Gabriel à Paris (8ème). Ce colloque destiné aux professionnels de santé, aux élus, associations, institutionnels, entreprises, journalistes… a pour thématique :
“Préventions : dans les territoires, ça bouge !”
A travers ce colloque, des spécialistes vont prendre la parole et mettre en avant leurs expériences dans le domaine de la prévention, via les domaines suivants :
Notre intervention “Addictions : sommes-nous tous devenus accros ?“
Nicolas BAUJARD, Responsable prévention et formation, interviendra sur le thème « Addictions : sommes-nous tous devenus accros ? » accompagné de Jean-Michel DELILE, Président de la Fédération Addiction et Maela LE BRUN GADELIUS du Bus 31/32.
Il présentera le programme de prévention sur les addictions UNPLUGGED :
Déployé dans les collèges partenaires du Loiret et du Cher par le service PISTES de l’association, UNPLUGGED est un programme probant de prévention destiné aux adolescents de 12 à 14 ans.
Son objectif : prévenir les conduites addictives en milieu scolaire, en mettant particulièrement l’accent sur l’alcool, le tabac et le cannabis.
A propos des programmes de prévention déployés par l’Apléat-Acep
Nous déployons un continuum de programme de prévention dés le plus jeune âge pour prévenir les addictions, pour en savoir plus c’est ici : page “Les programmes de prévention”.
Vous êtes intéressé pour mettre en place le programme UNPLUGGED auprès des 12/14 ans dans votre établissement ? Contactez-nous : contact@apleat-acep.com
Le service PISTES de l’association déploie dès à présent le tout nouveau programme de prévention CE8 (Compétences Émotionnelles en 8 séances) dans les départements du Loiret (45) et du Cher (18), en région Centre-Val de Loire.
Un programme innovant en 8 séances pour développer ses compétences émotionnelles
Le programme, répartie en 8 séances de 2h00, a été développé par une équipe de chercheurs en psychologie spécialisés dans le domaine des émotions (Ilios Kotsou, Joran Farnier, Rebecca Shankland, Moïra Mikolajczak, Jordi Quoidbach). Il fournit des outils concrets pour développer les compétences émotionnelles en prévention et dans l’accompagnement de personnes en difficulté.
Il s’agit d’un programme complet sous la forme d’un parcours en 8 séances, qui a fait l’objet de plusieurs recherches et qui est en libre accès pour les professionnels, avec un livret pour les participants. Plusieurs études attestent de son efficacité et le format en 8 séances présente une acceptabilité intéressante pour le déploiement sur le terrain.
Le programme est ainsi déployé, avec nos partenaires, en région Centre-Val de Loire à destination des jeunes de 16 à 25 ans. Il est financé avec l’aide du Fond de lutte contre les addictions.
Les objectifs du programme CE8
A travers des échanges collectifs, des apports théoriques et des mises en situation répartis ces 8 séances de 2 heures, CE8 vise à :
Identifier les émotions
Comprendre les émotions
Réguler les émotions
Exprimer les émotions
Utiliser les émotions
Développer les émotions ressources
Présentation du formateur du programme “Compétences Émotionnelles en 8 séances”
Joran Farnier, formateur pour CE8, a accepté de répondre à nos questions. Après une présentation du programme CE8, il met en avant l’importance des compétences émotionnelles et leurs effets, revient sur la formation des professionnels sur ce nouveau programme. Bonne écoute !
Déploiement de CE8 en région Centre-Val de Loire
Après avoir participé aux 2 journées de formation avec Joran Farnier, les professionnels de PISTES peuvent dès à présent déployer le programme CE8 au sein des établissements et structures partenaires du Loiret et du Cher, parmi lesquels nous retrouvons :
MFR de l’Orléanais, Centre EPIDE de Bourges-Osmoy, CFA Agricole de Bellegarde, CFA BTP Cente-Val de Loire, Lycée Professionnel Jean Guehenno, Département du Loiret, MFR Férolles, Mission Local Cher Sud, Lycée Professionnel Jean Berry et Prévention Insertion ville de Saint-Florent-sur-Cher.
Nous déployons un continuum de programme de prévention dés le plus jeune âge pour prévenir les addictions, pour en savoir plus c’est ici : page “Les programmes de prévention”.
Vous êtes intéressé pour mettre en place le programme CE8 auprès des 16/25 ans dans votre établissement ? Contactez-nous : contact@apleat-acep.com