L’Agence régionale de santé Centre-Val de Loire lance une campagne d’information de prévention de l’infarctus du myocarde

L’amélioration du délai de prise en charge des infarctus du myocarde constitue une priorité du Projet régional de santé 2018-2022.

Afin d’augmenter la connaissance des symptômes de l’infarctus du myocarde pour la population, en particulier chez les femmes (quand une femme ne se sent pas bien et présente un symptôme d’infarctus, son entourage met en moyenne 1 heure de plus que pour un homme avant d’appeler le 15) et de faire comprendre que les personnes qui composent le 15 dans ce cas sont prises en charge plus efficacement, l’ARS Centre-Val de Loire a produit plusieurs supports d’information :

  • un spot vidéo de 40 secondes

Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site de l’ARS Centre-Val de Loire

Un film pour changer de regard sur l’activité professionnelle des gens du voyage

Dans le cadre de la projection du documentaire « ça ferraille dur ! », organisée par le centre social Cher Tsiganes de l’APLEAT-ACEP, 50 personnes se sont réunies au Muséum d’Histoire Naturelle de Bourges le jeudi 21 novembre 2019.

Parmi les participants, la Caisse d’Allocations Familiales et le Conseil Départemental du Cher, des membres de Centres Communaux d’Action Sociale (CCAS) et de structures œuvrant dans le social dans le département du Cher, mais également des habitants et des voyageurs à Bourges.

Le documentaire suit la vie quotidienne des familles tsiganes domiciliées à Angoulême. Tout au long de leurs témoignages, nous découvrons leurs vies de travailleurs et leur culture.

Un mode de vie parfois difficile et incompris quand il s’agit de faire reconnaitre leur travail. “On est tatoué, on est marqué. Il y a des gens qui préfèrent payer plus cher pour ne pas nous faire travailler » nous indique Félix Patrac. Ce voyageur de 65 ans travaille depuis l’âge de 13 ans.

Les idées reçues ont la vie dure. Faire évoluer les regards, c’est le but recherché par la diffusion de ce documentaire. « Partout, il y a des gens bien, moins bien et mauvais. (…) A la télé, on voit beaucoup de voleurs mais pas beaucoup de voyageurs qui s’échinent au travail. » annonce Sonia Patrac, présidente du Centre Social Les Alliers à Angoulême venue témoigner avec sa famille. C’est d’ailleurs le but recherché par ce documentaire, faire reconnaitre le travail des voyageurs.

>> Téléchargez le communiqué de presse au format PDF (552 Ko)

Revue de presse

Pour aller plus loin

Lancement du programme TABADO dans les lycées professionnels et CFA

La 1ère étape du programme TABADO est lancée, des séances d’information collective auprès de tous les élèves des établissements participants sont en cours.

Le 13 novembre 2019, c’est Marine qui est intervenue auprès de plusieurs classes, et notamment dans une classe de première en électrotechnique au Lycée professionnel Jean Lurçat à Fleury-les-Aubrais (45).

La chargée de prévention a expliqué l’objectif du programme TABADO, qui propose d’aider ceux qui ont envie de diminuer ou d’arrêter le tabac.


Marine, intervenante, chargée de prévention à l’APLEAT-ACEP

Une animation ludique, sous forme de quizz a permis d’aborder avec les élèves le sujet de la consommation de tabac et de comprendre à quel moment arrive la dépendance, sa signification.

« J’arrête et je reprends parce que je suis avec des gens qui fument »

Les échanges ont mis en évidence les différentes dépendances rencontrées. La dépendance physique, apportée par la nicotine. La dépendance psychologique et comportementale ; celle qui nous amène à fumer une cigarette à chaque temps de pause, entre 2 cours.

« Quand je ne fume pas, je me sens bizarre »

Une question autour des préjugés face à l’arrêt du tabac a suscité de nombreux débats autour de son rôle social. « Si tu ne fumes pas, tu perds tes amis » annonce un élève. « Ce sont tes faux amis ça » renchérit un autre élève, « les amis encouragent ». Et c’est là tout l’intérêt du programme TABADO, qui souhaite encourager à l’arrêt ou du moins à la diminution du tabac via des entretiens individuels avec des professionnels mais également via des groupes d’aide à l’arrêt pour soutenir de façon collective la démarche de chacun.

Les TABADO GAMES sont ouverts ! Le nouveau concept des jeux « TABADO Games » lancé par l’Institut National du Cancer pour l’année 2019/2020 récompensera les établissements les plus investis. Les inscriptions sont lancées !

Pour plus d’infos

Portes ouvertes de l’espace de vie sociale Tsiganes 41 à Romorantin

Après les portes ouvertes du centre social Cher Tsiganes à Bourges, c’était au tour de l’espace de vie sociale, Tsiganes 41, d’ouvrir ses portes aux partenaires, voyageurs et habitants, le jeudi 17 octobre 2019. 

Les nombreux savoir-faire des gens du voyage ont été mis en avant via une exposition photo réalisée par l’espace de vie sociale (le travail saisonnier, la vannerie, l’élagage, la présence sur les marchés). Sur place, Anna et Dominique, confiseurs ont installé leur stand de crêpes pour régaler les visiteurs et échanger sur leur expérience. « Confiseur, c’est un beau métier. C’est la joie d’être avec les gens et de parler avec eux », nous confie Anna. Accompagnée de Dominique, elle propose des crêpes mais aussi des barbes à papa ou encore des pralines dans les brocantes, les fêtes et les écoles et aimerait proposer ses services dans les événements privés, tels que les mariages.

La musique fait partie de la culture tsigane. Trois musiciens nous ont fait voyager en interprétant quelques morceaux à la guitare et au chant.

La matinée a également été riche en échanges avec Catherine FOURCHEROT, Sous-préfète de Romorantin, venue à la rencontre des voyageurs pour connaître les difficultés rencontrées et y répondre aux travers de mesures concrètes, notamment dans les domaines de l’éducation, de la santé et de l’accès aux droits. Ces échanges ont été appréciés par tous et mis en lumière de nombreux points d’amélioration vers une meilleure façon de vivre ensemble, loin « des préjugés et des moqueries qui peuvent être parfois blessantes ».

Enfin, les visiteurs de l’après-midi ont pu découvrir la vie des gens du voyage au travers la diffusion de témoignages vidéo réalisés par l’espace de vie sociale Tsiganes 41.

Les portes ouvertes en image

1

Image 1 parmi 9

Dans la presse

La Nouvelle République, 15/10/2019, « A Romorantin, un lieu de confiance pour les gens du voyage » 

La Nouvelle République, 15/10/2019 « Ni fantasmes, ni angélisme » 

La Nouvelle République, 19/10/2019, « Rencontre entre voyageurs et sédentaires » 

Portes ouvertes au centre social Cher Tsiganes

Le Centre social Cher Tsiganes de l’association APLEAT-ACEP, situé Boulevard de la liberté à Bourges a ouvert ses portes le mercredi 9 octobre pour un temps d’échange et de rencontre.

Les participants, voyageurs et partenaires ont pu échanger suite à la projection du film « Des poules et des grosses voitures, idées reçues sur les gens du voyage » de Valérie Mitteaux et Anne Pitoun (France, 2013) autour des représentations qui se construisent sur les gens du voyage.

Un temps convivial autour du barbecue a permis de découvrir les locaux du centre social, décoré pour l’occasion par les dessins des enfants, les cartes postales des voyageurs et les supports des nombreuses activités proposées au centre. Pour l’occasion, et dans la continuité du projet « imagine la caravane du futur », l’espace de vie a été transformé en caravane par les enfants.

Cet évènement a aussi été l’occasion de découvrir les projets du centre social.

Pour l’équipe, ce moment fort permet de mettre en valeur la culture des gens du voyage, de provoquer les rencontres et les échanges entre sédentaires et voyageurs pour faire tomber les préjugés que l’on a des uns des autres.

Les portes ouvertes c’est aussi l’occasion de discuter avec les usagers autour de nouvelles idées dans la perspective de mettre en place ensemble de nouvelles activités tout au long de l’année.

Les portes ouvertes en images

[Addictologie] Le Forum Addiction à Boigny-sur-Bionne a réuni 180 professionnels du secteur médical, sanitaire et social

Un forum pour connaître les outils et structures existantes dans l’agglomération Orléanaise en matière d’addiction

Ce temps fort, organisé par le CCAS de Boigny-sur-Bionne, l’APLEAT-ACEP, l’ANPAA 45 et l’EPSM Daumézon, a permis de donner de la lisibilité sur les outils et ressources existantes en addictologie dans la métropole orléanaise, mercredi 9 octobre 2019. Il s’inscrit dans le cadre du Contrat Local de Santé (CLS) de la Métropole Orléanaise dont l’axe 2 A, consacré aux addictions, entend éviter les ruptures de prise en charge et développer les parcours de santé.

« Face à l’accélération de la vie, les problématiques liées à l’alcool, à la solitude et à l’isolement doivent être interpellées dès l’école », Mme LAINGUET, Maire de Fleury-les-aubrais, ville pilote du CLS depuis 2015.

Ainsi, les participants ont pu découvrir lors de conférences, les nombreuses ressources en Addictologie pour intervenir selon le public et ses besoins : de la définition du risque, en passant par la réduction des risques et des dommages, mais aussi l’accompagnement et le soin des personnes et de l’entourage.

Les stands d’information ont permis aux professionnels présents de repartir avec une meilleure connaissance des structures d’accueil de la métropole, parmi celles-ci :

  • l’UNAFAM (Union Nationale des Familles et Amis de Personnes Malades et/ou Handicapées Psychiques),
  • le planning familial,
  • la maison des adolescents
  • et la prévention routière.

Les dispositifs du territoire spécialisés en addictologie, répartis en plusieurs secteurs, notamment médico-social et hospitalier ont ainsi pu être identifiés. Le prochain évènement annoncé par M MILLIAT, Maire de Boigny-sur-Bionne aura pour objet l’addiction sans substances.

Dans la presse

 

Lancement d’un programme innovant de soutien aux familles et à la parentalité (12 – 16 ans)

Lancement du programme de soutien aux familles et à la parentalité dans le loiret

L’APLEAT-ACEP, avec le soutien de l’ARS Centre-Val de Loire, lance le programme de soutien aux familles et à la parentalité pour les familles ayant un enfant de 12 à 16 ans. Des sessions de formation sont en cours cette semaine à Orléans pour former les professionnels et futurs animateurs du programme qui sera proposé aux familles dès le mois de Mars 2020. Ainsi 10 familles pourront être accompagnées pour améliorer la communication avec leur enfant et mieux comprendre leur adolescent.

Renforcer les relations et les compétences familiales afin de réduire chez les jeunes les problèmes d’addiction, de délinquance mais aussi améliorer les compétences sociales et scolaires, voici l’ambition du programme de soutien aux familles et à la parentalité (PSFP) déployé dans le Loiret par l’APLEAT-ACEP sur l’année 2019/2020.

Dotée d’un certain nombre d’outils pour susciter l’implication et l’adhésion des familles, le programme SFP (Soutien aux Familles à la Parentalité) est un programme éducatif de mise en place d’une stratégie d’intervention précoce reconnue et validée internationalement dans le champ de la prévention et de la promotion de la santé.

« Implanté dans 35 pays, le programme a été évalué de manière efficace plus de 150 fois »,
Ulrich Vandoorne, développeur du programme au niveau national

Un programme innovant …

PSFP est basé sur le développement des compétences psychosociales (CPS) des adolescents, ainsi que le développement des compétences parentales. Un travail est ainsi mené avec les jeunes, puis avec les parents et enfin ensemble pour une mise en commun des savoirs.
« Ce programme n’est pas directement orienté vers les consommateurs mais vise bien à intervenir en amont d’une conduite addictive. » précise Ulrich Vandoorne. Au-delà des problématiques de consommation de substances psychoactives chez les jeunes, l’adolescence est souvent un moment de questionnement et de tentation. Les techniques utilisées lors des ateliers vont aider les familles à développer des facteurs de protection et à mettre en place un climat familial positif. C’est un enjeu clé pour le développement des enfants.

… qui répond à un réel besoin des familles

« Comment communiquer avec mon adolescent(e) ? », « Comment instaurer un climat familial positif ? », se sont autant de questions auxquelles aimeraient répondre des parents que rencontrent les professionnelles du CCAS (Centre Communal d’Action Social) d’Olivet, présentes ce jour à la formation dispensée par Ulrich Vandoorne et l’APLEAT-ACEP. Elles ont ainsi pu découvrir ce programme novateur, répondant à un besoin de certaines familles.

La psychologie positive, la communication bienveillante sont autant d’outils que les animateurs du programme vont pouvoir apporter aux familles pour établir un climat de confiance et ainsi renforcer les liens.


Ainsi, 25 professionnels ont déjà participé à la formation dispensée les 16 et 17 septembre 2019 à Orléans. Tout professionnel intervenant auprès de jeunes et de leur famille peut en être prescripteur, nous mettons à disposition tous les outils et contact nécessaire.

EN BREF

  • Programme destiné aux familles avec enfant âgé entre 12 et 16 ans
  • Sessions participatives, pragmatiques, ludiques (avec échanges, apports de connaissances, recommandations et exercices pratiques)
  • Ateliers répartis en 14 sessions
  • Chaque session dure 2h30, à fréquence d’une par semaine pendant 14 semaines
  • Elles auront lieu dans le Loiret (lieu à définir selon les inscriptions)
  • Parents et enfant doivent être présents à chaque session
  • Sessions animées par les professionnels (éducateurs, psychologues) de l’APLEAT-ACEP
  • Une session PSFP regroupe une dizaine (maximum 14) de familles volontaires
  • Les inscriptions des familles se font auprès de l’APLEAT-ACEP, référent : Nicolas BAUJARD

Média

TAPAJ, Lauréat régional du prix de l’inspiration en ESS en Centre-Val de Loire

TAPAJ, Lauréat régional du prix de l’inspiration en ESS en Centre-Val de Loire

Le prix de l’inspiration en ESS en région Centre-Val de Loire nous a été remis le 16 mai 2019 par la Fondation Crédit Coopératif.

Ce prix est un appel à initiatives, il distingue des projets exemplaires et novateurs pour les territoires. Nous sommes fiers d’être lauréat en région Centre-Val de Loire pour notre action auprès des jeunes via le dispositif TAPAJ déployé dans le Loiret et le Cher.

Remise du prix de l’inspiration en ESS, le 16 mai 2019, par la Fondation Crédit Coopératif

TAPAJ, pour Travail Alternatif Payé À la Journée, est un dispositif de réduction des risques fondé sur l’insertion. Il permet aux jeunes de 16 à 25 ans en errance d’être rémunérés en fin de journée, pour une activité professionnelle qui ne nécessite pas de qualification ou d’expérience professionnelle particulière et ne les engage pas sur la durée. TAPAJ apporte en cela une réponse adaptée aux jeunes en errance que leurs problématiques sociales, éducatives et sanitaires tiennent éloignés des dispositifs de droit commun.

>> Pour en savoir plus sur le dispositif TAPAJ, cliquez ici

Plus d’informations sur le prix de l’inspiration ESS

Dans les médias

Et la suite ?

Nous sommes pré-sélectionnés pour concourir au Prix National de l’Inspiration en ESS !

Suivez nos actualités sur Facebook : /AssociationAPLEATACEP, Twitter : /TAPAJOrleans

Enquête sur les addictions chez les jeunes (18-24 ans)

Paris, le 8 juin 2018 – Le Fonds Actions Addictions, la Fondation pour l’innovation politique et la Fondation Gabriel Péri ont confié à IPSOS la réalisation d’une enquête* portant sur la perception des addictions chez les jeunes et sur l’acceptabilité des différentes mesures de prévention et de soin. L’analyse s’est centrée sur les niveaux de consommation, l’appréhension par les parents des consommations des jeunes, le taux d’accessibilité aux produits, le niveau de connaissance des risques par les jeunes. Elle traite également de la perception plus ou moins positive de certaines mesures de prévention et de soins.

L’enquête fait tout d’abord ressortir des niveaux de consommation inquiétants chez les jeunes en ce qui concerne tous les produits, licites ou illicites. On voit par exemple que 9% des jeunes français fument du cannabis au moins 1 fois par mois, ce taux montant à 25% pour la région parisienne. Les données pour les drogues type Cocaïne, Ecstasy, GHB sont aussi édifiantes pour des produits autrefois moins prisés des jeunes : 340 000 jeunes de 14-17 ans en ont déjà consommé et 255 500 parmi les 18-24 en consommeraient toutes les semaines. Les addictions comportementales ne sont pas en reste avec 25% des 18-22 ans passant plus de 5 heures par jour sur les réseaux sociaux et 16% affirmant passer 5 heures par jour à jouer aux jeux-vidéos. Plus inquiétante encore est la fréquence consommation de pornographie avec 9% de jeunes utilisateurs quotidiens.

On peut estimer que ces chiffres sont en partie dus à la facilité d’accès des mineurs aux produits censés leur être prohibés ; les chiffres le prouvent avec 80% des buralistes acceptant de vendre des cigarettes aux mineurs ; 92% des jeunes estiment qu’il est facile d’accéder à la pornographie, 69% pour le cannabis 65% pour l’alcool et 46% pour la cocaïne ou la MDMA.

L’inquiétude des parents est-elle proportionnelle à ces données très alarmantes ? Rien n’est moins sûr. La consommation en alcool et en tabac est en effet très sous-estimée par les parents avec seulement 10% d’entre-deux qui pensent que leur enfant boit au moins une fois par semaine… alors que la proportion réelle est plutôt estimée à 30% ; elle est de 15 % contre 24 % pour le tabac.

Point important : l’étude a démontré que, chez les jeunes, la perception du danger était clairement présente ; ces derniers sont bien conscients des risques de dépendances, maladies, accidents, échecs scolaires, troubles psychiques qu’entraîne une consommation régulière de produits.

Cette enquête montre que les campagnes de prévention ne sont pas suffisantes pour protéger les jeunes contre les conduites addictives. Des actions de contrôle de l’accès aux produits et aux comportements dangereux sont nécessaires et approuvées. Parmi les mesures plébiscitées par les sondés ont peut citer :

  • L’interdiction de la publicité pour l’alcool
  • L’interdiction du tabac dans tous les lieux publics
  • L’aggravation des peines pour les trafiquants de drogues
  • La systématisation des amendes pour les consommateurs
  • L’aggravation des peines pour ceux qui ne respectent pas l’interdiction de vente d’alcool, de tabac ou de jeux d’argent aux mineurs
  • Le remboursement des traitements contre les addictions (ceci met en évidence que le public fait la différence entre les consommations volontaires et les maladies addictives)

L’augmentation des prix reste toutefois une mesure moins populaire pour les français interrogés, malgré son efficacité prouvée.

On peut donc tirer plusieurs enseignements de ces données :

Les jeunes consomment de plus en plus, et de plus en plus jeunes, mais ils sont bel et bien conscients que ces consommations impliquent des dangers pour leur santé physique et pour leur développement. Les parents, à contrario, semblent mal évaluer l’importance du problème, notamment pour les addictions liées aux nouveaux usages numériques et aux drogues licites. Ces hausses de consommation chez les jeunes renforcent le besoin d’une meilleure prévention/prise en charge avec la volonté exprimée de mettre en place des réformes concrètes (remboursement de traitements, interdiction de vente aux mineurs…) pour en réduire les dommages.

Vous retrouverez l’intégralité de cette enquête sur les sites :

http://www.fondapol.org/   http://www.gabrielperi.fr/

*Enquête réalisée entre le 30 Mars et le 5 Avril 2018. L’échantillon se décomposé en 3 parties : 2005 individus âgés de 18 ans et plus, 1000 jeunes de 14 à 24 ans et 402 parents d’enfant de 14 à 24 ans