Programme de soutien aux familles et à la parentalité – première édition (2020)

Programme de soutien aux familles et à la parentalité – première édition (2020)

Le programme de Soutien aux familles et à la Parentalité, ce sont : 

  • 14 ateliers hebdomadaires gratuits
  • tous les jeudis de 17h45 à 20h15
  • de mars à juin 2020
  • à Orléans

Rappel des objectifs :

  • renforcer les compétences parentales
  • améliorer le comportement et les compétences psychosociales* des enfants

Déroulé du programme

Le programme se déroule avec plusieurs familles lors de 14 sessions de deux heures. La première est une séance commune entre parents et enfants. La seconde est séparée. Les ateliers sont animés par des professionnels de l’APLEAT-ACEP.

Pour les parents, les thèmes des séances sont notamment : la communication, la bienveillance, la définition de limite, les relations dans la famille.

Pour les enfants, les thèmes sont la communication, l’affirmation de soi, savoir gérer son stress et ses émotions, et la capacité à résister aux pressions.

Les séances intègrent des échanges, des exercices pratiques et des points théoriques. Des activités à la maison sont également demandées. C’est un programme éducatif et non une thérapie. Le programme ne cherche pas à faire rentrer les participants dans une norme mais à valoriser les compétences et les savoirs de chacun.

Les outils de communication

Plus de renseignements

Contactez Nicolas BAUJARD, Chef de service du service Jeunesse
Tél : 06 73 88 96 57
Mail : nicolas.baujard@apleat.com

Offres d’emploi – Décembre 2019

Des postes sont à pourvoir à l’APLEAT ACEP :

 

Développement des Consultations Jeunes Consommateurs (CJC) dans les départements du Loiret et du Cher

La Promotion de la santé à l’école : un enjeu de santé publique

L’adolescence est une période d’expérimentation en général, et de rencontre avec les substances psychoactives, notamment le tabac, l’alcool et le cannabis. Les niveaux de consommation des produits psychoactifs chez les jeunes sont préoccupants en France. A 17 ans, 25% des adolescents fument chaque jour. L’âge moyen du passage à un tabagisme quotidien est 15 ans. 44% déclarent une alcoolisation ponctuelle importante (API) (consommation d’au moins 5 verres d’alcool en une seule occasion) dans le dernier mois, et 16,4% des API répétées au moins 3 fois dans le mois. 7,2% sont consommateurs réguliers de cannabis (au moins 10 usages dans le mois)1.

Un des enjeux majeurs est de repérer précocement les jeunes en difficulté pour prévenir l’installation dans des usages de produits ou des pratiques sans produits (jeux, écrans…) problématiques et favoriser l’orientation vers une prise en charge adaptée si besoin.

Il est important d’agir auprès de l’entourage des jeunes, en première ligne pour repérer d’éventuelles difficultés, et en particulier le milieu éducatif, et de fournir à l’entourage des clés de compréhension et des outils pour être plus à l’aise pour aborder ces questions et favoriser le lien vers les ressources et dispositifs d’aide existants, comme les CJC.

Une convention pour favoriser l’orientation des jeunes en difficultés

Ainsi l’APLEAT-ACEP, lance une campagne de conventionnement auprès des établissements scolaires du Loiret et du Cher. Ces conventions permettront de systématiser les échanges et les liens entre l’équipe de la CJC référente et l’équipe éducative et ainsi favoriser l’orientation des jeunes en difficultés avec une consommation de substances ou une pratique, voire leurs proches.

Qu’est-ce qu’une CJC ?

La CJC est lieu pour parler et faire le point sur ses consommations ou celles de ses proches, avec des professionnels des addictions et de l’adolescence.

 

Voici quelques actions menées dans le cadre de partenariat avec les établissements scolaires :

  • Mise en place de programmes validés de prévention des addictions
  • La formation du personnel, notamment des conseillers principaux d’éducation (CPE) et des infirmiers de l’éducation nationale, au repérage précoce, aux modalités d’une intervention brève et à l’entretien motivationnel ;
  • L’information des parents d’élèves sur les dispositifs de prévention ;
  • L’orientation pour les jeunes repérés à risque vers la consultation jeunes consommateurs (CJC).

Pour plus d’informations

Source : Enquête ESCAPAD 2017 de l’Observatoire français des drogues et toxicomanies (OFDT), données en ligne à l’adresse : https://www.ofdt.fr/BDD/publications/docs/eftxssy2.pdf

L’Agence régionale de santé Centre-Val de Loire lance une campagne d’information de prévention de l’infarctus du myocarde

L’amélioration du délai de prise en charge des infarctus du myocarde constitue une priorité du Projet régional de santé 2018-2022.

Afin d’augmenter la connaissance des symptômes de l’infarctus du myocarde pour la population, en particulier chez les femmes (quand une femme ne se sent pas bien et présente un symptôme d’infarctus, son entourage met en moyenne 1 heure de plus que pour un homme avant d’appeler le 15) et de faire comprendre que les personnes qui composent le 15 dans ce cas sont prises en charge plus efficacement, l’ARS Centre-Val de Loire a produit plusieurs supports d’information :

  • un spot vidéo de 40 secondes

Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site de l’ARS Centre-Val de Loire

Un film pour changer de regard sur l’activité professionnelle des gens du voyage

Dans le cadre de la projection du documentaire « ça ferraille dur ! », organisée par le centre social Cher Tsiganes de l’APLEAT-ACEP, 50 personnes se sont réunies au Muséum d’Histoire Naturelle de Bourges le jeudi 21 novembre 2019.

Parmi les participants, la Caisse d’Allocations Familiales et le Conseil Départemental du Cher, des membres de Centres Communaux d’Action Sociale (CCAS) et de structures œuvrant dans le social dans le département du Cher, mais également des habitants et des voyageurs à Bourges.

Le documentaire suit la vie quotidienne des familles tsiganes domiciliées à Angoulême. Tout au long de leurs témoignages, nous découvrons leurs vies de travailleurs et leur culture.

Un mode de vie parfois difficile et incompris quand il s’agit de faire reconnaitre leur travail. “On est tatoué, on est marqué. Il y a des gens qui préfèrent payer plus cher pour ne pas nous faire travailler » nous indique Félix Patrac. Ce voyageur de 65 ans travaille depuis l’âge de 13 ans.

Les idées reçues ont la vie dure. Faire évoluer les regards, c’est le but recherché par la diffusion de ce documentaire. « Partout, il y a des gens bien, moins bien et mauvais. (…) A la télé, on voit beaucoup de voleurs mais pas beaucoup de voyageurs qui s’échinent au travail. » annonce Sonia Patrac, présidente du Centre Social Les Alliers à Angoulême venue témoigner avec sa famille. C’est d’ailleurs le but recherché par ce documentaire, faire reconnaitre le travail des voyageurs.

>> Téléchargez le communiqué de presse au format PDF (552 Ko)

Revue de presse

Pour aller plus loin

Lancement du programme TABADO dans les lycées professionnels et CFA

La 1ère étape du programme TABADO est lancée, des séances d’information collective auprès de tous les élèves des établissements participants sont en cours.

Le 13 novembre 2019, c’est Marine qui est intervenue auprès de plusieurs classes, et notamment dans une classe de première en électrotechnique au Lycée professionnel Jean Lurçat à Fleury-les-Aubrais (45).

La chargée de prévention a expliqué l’objectif du programme TABADO, qui propose d’aider ceux qui ont envie de diminuer ou d’arrêter le tabac.


Marine, intervenante, chargée de prévention à l’APLEAT-ACEP

Une animation ludique, sous forme de quizz a permis d’aborder avec les élèves le sujet de la consommation de tabac et de comprendre à quel moment arrive la dépendance, sa signification.

« J’arrête et je reprends parce que je suis avec des gens qui fument »

Les échanges ont mis en évidence les différentes dépendances rencontrées. La dépendance physique, apportée par la nicotine. La dépendance psychologique et comportementale ; celle qui nous amène à fumer une cigarette à chaque temps de pause, entre 2 cours.

« Quand je ne fume pas, je me sens bizarre »

Une question autour des préjugés face à l’arrêt du tabac a suscité de nombreux débats autour de son rôle social. « Si tu ne fumes pas, tu perds tes amis » annonce un élève. « Ce sont tes faux amis ça » renchérit un autre élève, « les amis encouragent ». Et c’est là tout l’intérêt du programme TABADO, qui souhaite encourager à l’arrêt ou du moins à la diminution du tabac via des entretiens individuels avec des professionnels mais également via des groupes d’aide à l’arrêt pour soutenir de façon collective la démarche de chacun.

Les TABADO GAMES sont ouverts ! Le nouveau concept des jeux « TABADO Games » lancé par l’Institut National du Cancer pour l’année 2019/2020 récompensera les établissements les plus investis. Les inscriptions sont lancées !

Pour plus d’infos

Portes ouvertes de l’espace de vie sociale Tsiganes 41 à Romorantin

Après les portes ouvertes du centre social Cher Tsiganes à Bourges, c’était au tour de l’espace de vie sociale, Tsiganes 41, d’ouvrir ses portes aux partenaires, voyageurs et habitants, le jeudi 17 octobre 2019. 

Les nombreux savoir-faire des gens du voyage ont été mis en avant via une exposition photo réalisée par l’espace de vie sociale (le travail saisonnier, la vannerie, l’élagage, la présence sur les marchés). Sur place, Anna et Dominique, confiseurs ont installé leur stand de crêpes pour régaler les visiteurs et échanger sur leur expérience. « Confiseur, c’est un beau métier. C’est la joie d’être avec les gens et de parler avec eux », nous confie Anna. Accompagnée de Dominique, elle propose des crêpes mais aussi des barbes à papa ou encore des pralines dans les brocantes, les fêtes et les écoles et aimerait proposer ses services dans les événements privés, tels que les mariages.

La musique fait partie de la culture tsigane. Trois musiciens nous ont fait voyager en interprétant quelques morceaux à la guitare et au chant.

La matinée a également été riche en échanges avec Catherine FOURCHEROT, Sous-préfète de Romorantin, venue à la rencontre des voyageurs pour connaître les difficultés rencontrées et y répondre aux travers de mesures concrètes, notamment dans les domaines de l’éducation, de la santé et de l’accès aux droits. Ces échanges ont été appréciés par tous et mis en lumière de nombreux points d’amélioration vers une meilleure façon de vivre ensemble, loin « des préjugés et des moqueries qui peuvent être parfois blessantes ».

Enfin, les visiteurs de l’après-midi ont pu découvrir la vie des gens du voyage au travers la diffusion de témoignages vidéo réalisés par l’espace de vie sociale Tsiganes 41.

Les portes ouvertes en image

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Dans la presse

La Nouvelle République, 15/10/2019, « A Romorantin, un lieu de confiance pour les gens du voyage » 

La Nouvelle République, 15/10/2019 « Ni fantasmes, ni angélisme » 

La Nouvelle République, 19/10/2019, « Rencontre entre voyageurs et sédentaires » 

Portes ouvertes au centre social Cher Tsiganes

Le Centre social Cher Tsiganes de l’association APLEAT-ACEP, situé Boulevard de la liberté à Bourges a ouvert ses portes le mercredi 9 octobre pour un temps d’échange et de rencontre.

Les participants, voyageurs et partenaires ont pu échanger suite à la projection du film « Des poules et des grosses voitures, idées reçues sur les gens du voyage » de Valérie Mitteaux et Anne Pitoun (France, 2013) autour des représentations qui se construisent sur les gens du voyage.

Un temps convivial autour du barbecue a permis de découvrir les locaux du centre social, décoré pour l’occasion par les dessins des enfants, les cartes postales des voyageurs et les supports des nombreuses activités proposées au centre. Pour l’occasion, et dans la continuité du projet « imagine la caravane du futur », l’espace de vie a été transformé en caravane par les enfants.

Cet évènement a aussi été l’occasion de découvrir les projets du centre social.

Pour l’équipe, ce moment fort permet de mettre en valeur la culture des gens du voyage, de provoquer les rencontres et les échanges entre sédentaires et voyageurs pour faire tomber les préjugés que l’on a des uns des autres.

Les portes ouvertes c’est aussi l’occasion de discuter avec les usagers autour de nouvelles idées dans la perspective de mettre en place ensemble de nouvelles activités tout au long de l’année.

Les portes ouvertes en images

[Addictologie] Le Forum Addiction à Boigny-sur-Bionne a réuni 180 professionnels du secteur médical, sanitaire et social

Un forum pour connaître les outils et structures existantes dans l’agglomération Orléanaise en matière d’addiction

Ce temps fort, organisé par le CCAS de Boigny-sur-Bionne, l’APLEAT-ACEP, l’ANPAA 45 et l’EPSM Daumézon, a permis de donner de la lisibilité sur les outils et ressources existantes en addictologie dans la métropole orléanaise, mercredi 9 octobre 2019. Il s’inscrit dans le cadre du Contrat Local de Santé (CLS) de la Métropole Orléanaise dont l’axe 2 A, consacré aux addictions, entend éviter les ruptures de prise en charge et développer les parcours de santé.

« Face à l’accélération de la vie, les problématiques liées à l’alcool, à la solitude et à l’isolement doivent être interpellées dès l’école », Mme LAINGUET, Maire de Fleury-les-aubrais, ville pilote du CLS depuis 2015.

Ainsi, les participants ont pu découvrir lors de conférences, les nombreuses ressources en Addictologie pour intervenir selon le public et ses besoins : de la définition du risque, en passant par la réduction des risques et des dommages, mais aussi l’accompagnement et le soin des personnes et de l’entourage.

Les stands d’information ont permis aux professionnels présents de repartir avec une meilleure connaissance des structures d’accueil de la métropole, parmi celles-ci :

  • l’UNAFAM (Union Nationale des Familles et Amis de Personnes Malades et/ou Handicapées Psychiques),
  • le planning familial,
  • la maison des adolescents
  • et la prévention routière.

Les dispositifs du territoire spécialisés en addictologie, répartis en plusieurs secteurs, notamment médico-social et hospitalier ont ainsi pu être identifiés. Le prochain évènement annoncé par M MILLIAT, Maire de Boigny-sur-Bionne aura pour objet l’addiction sans substances.

Dans la presse

 

Lancement d’un programme innovant de soutien aux familles et à la parentalité (12 – 16 ans)

Lancement du programme de soutien aux familles et à la parentalité dans le loiret

L’APLEAT-ACEP, avec le soutien de l’ARS Centre-Val de Loire, lance le programme de soutien aux familles et à la parentalité pour les familles ayant un enfant de 12 à 16 ans. Des sessions de formation sont en cours cette semaine à Orléans pour former les professionnels et futurs animateurs du programme qui sera proposé aux familles dès le mois de Mars 2020. Ainsi 10 familles pourront être accompagnées pour améliorer la communication avec leur enfant et mieux comprendre leur adolescent.

Renforcer les relations et les compétences familiales afin de réduire chez les jeunes les problèmes d’addiction, de délinquance mais aussi améliorer les compétences sociales et scolaires, voici l’ambition du programme de soutien aux familles et à la parentalité (PSFP) déployé dans le Loiret par l’APLEAT-ACEP sur l’année 2019/2020.

Dotée d’un certain nombre d’outils pour susciter l’implication et l’adhésion des familles, le programme SFP (Soutien aux Familles à la Parentalité) est un programme éducatif de mise en place d’une stratégie d’intervention précoce reconnue et validée internationalement dans le champ de la prévention et de la promotion de la santé.

« Implanté dans 35 pays, le programme a été évalué de manière efficace plus de 150 fois »,
Ulrich Vandoorne, développeur du programme au niveau national

Un programme innovant …

PSFP est basé sur le développement des compétences psychosociales (CPS) des adolescents, ainsi que le développement des compétences parentales. Un travail est ainsi mené avec les jeunes, puis avec les parents et enfin ensemble pour une mise en commun des savoirs.
« Ce programme n’est pas directement orienté vers les consommateurs mais vise bien à intervenir en amont d’une conduite addictive. » précise Ulrich Vandoorne. Au-delà des problématiques de consommation de substances psychoactives chez les jeunes, l’adolescence est souvent un moment de questionnement et de tentation. Les techniques utilisées lors des ateliers vont aider les familles à développer des facteurs de protection et à mettre en place un climat familial positif. C’est un enjeu clé pour le développement des enfants.

… qui répond à un réel besoin des familles

« Comment communiquer avec mon adolescent(e) ? », « Comment instaurer un climat familial positif ? », se sont autant de questions auxquelles aimeraient répondre des parents que rencontrent les professionnelles du CCAS (Centre Communal d’Action Social) d’Olivet, présentes ce jour à la formation dispensée par Ulrich Vandoorne et l’APLEAT-ACEP. Elles ont ainsi pu découvrir ce programme novateur, répondant à un besoin de certaines familles.

La psychologie positive, la communication bienveillante sont autant d’outils que les animateurs du programme vont pouvoir apporter aux familles pour établir un climat de confiance et ainsi renforcer les liens.


Ainsi, 25 professionnels ont déjà participé à la formation dispensée les 16 et 17 septembre 2019 à Orléans. Tout professionnel intervenant auprès de jeunes et de leur famille peut en être prescripteur, nous mettons à disposition tous les outils et contact nécessaire.

EN BREF

  • Programme destiné aux familles avec enfant âgé entre 12 et 16 ans
  • Sessions participatives, pragmatiques, ludiques (avec échanges, apports de connaissances, recommandations et exercices pratiques)
  • Ateliers répartis en 14 sessions
  • Chaque session dure 2h30, à fréquence d’une par semaine pendant 14 semaines
  • Elles auront lieu dans le Loiret (lieu à définir selon les inscriptions)
  • Parents et enfant doivent être présents à chaque session
  • Sessions animées par les professionnels (éducateurs, psychologues) de l’APLEAT-ACEP
  • Une session PSFP regroupe une dizaine (maximum 14) de familles volontaires
  • Les inscriptions des familles se font auprès de l’APLEAT-ACEP, référent : Nicolas BAUJARD

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