Note 2018-02, OFDT, 9 p.
Mai 2018
L’utilisation de substances afin d’améliorer les performances sportives concerne un lycéen sur quinze (7 %). Le dopage sportif stricto sensu, soit l’utilisation de substances prescrites ou illicites, est bien moindre et ne concerne qu’un lycéen sur cinquante (2 %). Dans ces deux cas, il s’agit de comportements masculins, alors que le recours, plus fréquent, à des substances afin de lutter contre stress et la fatigue s’avère être une conduite plus féminine. Enfin, un lycéen sur six (16 %) déclare avoir pris au cours des 12 derniers mois un produit dans le cadre de la préparation d’un examen. Cette pratique est plus souvent déclarée par les filles.
Auteurs : Stanislas Spilka, Éric Janssen
Télécharger la note (fichier PDF,471 ko)
Lundi 16 décembre 2024 à 18h s’est déroulé l’inauguration officielle du nouvel établissement « ACT…
La journée Dépistage et Prévention des cancers du sein, de l’utérus et colorectal a eu…
Le défi Mois sans tabac revient pour la 9ème édition. A partir du 1er novembre,…
29 novembre 2024Aller-vers : Intervenir Hors Les Murs des Institutions dans le Secteur Social et…
Nous organisons une journée prévention et dépistage au Centre Hospitalier de Pithiviers. Le mercredi 6…
Dans le cadre d’un partenariat avec l‘Association Familiale d’Ingré (AFI), les bénévoles de l’AFI ont…